La réforme de l’assurance maladie, qui vient d’entrer en vigueur, place le médecin traitant au coeur d’un nouveau parcours de soins. Les patients sont désormais encouragés à le consulter en priorité.
Les pouvoirs publics ont tenu à associer les complémentaires santé à la maîtrise des dépenses de l’Assurance maladie.
Par conséquent, les mutuelles ne devraient pas rembourser les nouvelles contributions financières exigées de l’assuré (participation de 1 €, baisse de remboursement en l’absence de choix d’un médecin traitant ou d’accès direct aux spécialistes) sous peine d’être pénalisées sur le plan fiscal.
Reste à voir, dans les mois qui viennent, ce qu’elles feront vraiment.