L’isolement social est un paramètre d’objectivité, qui a comme mesure l’examen d’une personne vivant en solitude, de son statut conjugal, de l’envergure de son environnement social et de son intégration dans des activités en groupe. Ce problème social est un souci assez fréquent pour les personnes âgées.
Isolement social : quelle définition ?
L’isolement social est une période pendant laquelle une personne souffre et se sent en danger, à cause des relations insuffisantes et qui ne durent pas suffisamment. Les relations de mauvaise qualité produisent, en effet, un déni d’acceptation, un manque de sécurité et une intention de non participation. Le risque lié à la situation est tiré du fait que cela peut priver quelques ressources obligatoires pour devenir une personne normale et avoir des soins essentiels dans la vie sociale. Cette définition préconise l’adoption de ce cas social et de composer les territoires des mécanismes nécessaires à son développement et à sa faculté de comprendre. Les personnes en isolement sont celles qui manquent de relations dans les réseaux quotidiens. L’isolement social est visible aux yeux des contacts, de leur présentation, de leur durée et de leurs formes. C’est peut-être le résultat d’une intégration compliquée ou d’un mécanisme de désinsertion au niveau social. Avec un âge qui avance, l’isolement est parfois en rupture, notamment quand il manque de disposition de relations dans un seul réseau. La solitude fait partie de l’état d’isolement relationnel ou social dans lequel se place une personne. Si c’est un choix, chacun peut l’apprécier et l’interrompre quand il le souhaite. Quand la solitude est interpellée, cela devient une grande souffrance, un risque et un gros souci.
Les conséquences généralisées de l’isolement social
L’isolement social peut entraîner un oubli d’identité dans la société. Si vous restez seul donc vous serez banni. La personne concernée devra combattre son « a priori social » et une sensation démesurée. La victime qui subit cette solitude non voulue, ignore de manière progressive, ses compétences intérieures. Vous pouvez voir des images de repli en soi et une perte d’espoir de faire confiance à quelqu’un. Ce manque d’estime en soi provoque de la dépression. Si cette situation dure, cela peut être dramatique. La faculté à renouer certains liens peut diminuer la honte et la peur et entraîne la personne à travers une logique de retirement, qui rendra son retour à une inclusion dynamique au niveau social, qui sera de plus en plus compliqué. Une personne isolée ne peut avoir de meilleures relations sociales et une vie égale dans la société. Cette solitude accélère rapidement les manques d’autonomie, surtout chez les plus âgés et peut augmenter le mauvais fonctionnement des prises en charge. Quelques études ont ainsi démontré que c’est la cause de certaines inadaptations à des soins ou des aides utiles.
Impacts de l’isolement sur la santé physique et mentale
L’isolement social présente des effets bien néfastes sur la santé mentale et physique. En plus, les personnes qui vivent seules présentent plus de risques d’être hospitalisées. Les stress chroniques causés par cet isolement présentent des effets sur le système immunitaire et peuvent être à l’origine de certaines inflammations, un souci associé à quelques maladies comme le manque coronarien, l’arthrite et le diabète stade 2. Ce qui va modifier les activités endocriniennes du corps. Les personnes isolées fortement représentent un haut degré d’anticorps se combinant à une optimisation de la douleur, à une fatigue chronique et à une dépression. Il peut même interférer avec le mécanisme du système nerveux dit parasympathique, cela mènera à des maladies cardiaques. La personne isolée devient hyper vigilante, en permanence, et présente un trouble du sommeil. Cela augmentera le risque de mortalité.
Les conséquences de l’isolement social sur le cerveau
L‘isolement peut provoquer une dépression et une perte d’appétit. Assemblés, ces symptômes vont conduire à une petite démence et causeront rapidement une perte des facultés de raisonnement et de mémorisation, ce qui contribue à la maladie d’Alzheimer. C’est bien prouvé que l’isolement est nocif pour la santé, plus que l’obésité, le tabagisme… il augmente environ 60 % le souci de démence et la régression au niveau cognitif et il s’associe à des stades supérieurs de suicide. À contrario, la présence de gens aimantes peut contribuer à une bonne évolution de comportement. Après l’âge de 65 ans, les neurones vont se détériorer et meurent plus rapidement, si son utilisation est en manque. Alors, il faut apprendre et entrer en contact avec la communauté en réalisant des exercices, car ce sont les meilleures méthodes de préserver les neurones en bonne santé. Sachez qu’entrer en contact entre humains est assez important pour éviter certains méfaits d’un âge avancé. La désocialisation, quand elle est amorcée, s’accentue de manière progressive, la personne isolée va réduire le nombre de ses activités d’un coup. La socialisation minimisée entraîne un déficit de stimulation cognitive et sensorielle. Le psychisme sera aussi ébranlé. Des sensations négatives vont apparaître comme un sentiment de dépréciation de soi, d’abondant, la sensation d’être inutile, de ne rien signifier, etc. Ce repli en soi va s’intensifier et une onde négative s’enclenchera pour parvenir à la dépression.