Pour que la rentabilité de vos locations soit positive, il faut limiter les risques d’impayés, et alléger le poids de l’impôt au maximum. Voici la suite de notre mode d’emploi du «savoir-louer».
Le revenu foncier net imposable que vous tirez d’une location est soumis à l’impôt sur le revenu et aux prélèvements sociaux. Mais il peut être calculé de plusieurs façons. Au fil des années, de multiples dispositifs se sont en effet superposés. Vous avez le droit de choisir le plus avantageux pour vous, mais seulement à certaines occasions et à certaines conditions.
• Selon le montant des recettes locatives brutes annuelles de votre foyer fiscal, et si vous ne bénéficiez pas déjà d’un régime fiscal particulier (Périssol, Besson…), vous êtes normalement soumis au régime simplifié du micro-foncier. Mais vous êtes libre d’opter pour le régime «réel».
Si votre locataire est déjà en place
• Vous louez le logement pour la première fois, ou vous le relouez à un nouveau locataire. À l’occasion de ce nouveau bail, vous pouvez opter pour le régime Besson ancien, à certaines conditions.
Si vous avez un nouveau locataire
• Acheter un appartement pour le louer implique aussi une réflexion sur le régime fiscal optimal. On peut appliquer le régime micro-foncier ou le régime réel d’imposition. Mais deux autres dispositifs se révèlent souvent plus avantageux.
Si vous envisagez un investissement locatif